- Auteur : Lilian Jackson Braun
- Ma note :
- Lu : juillet 2006
Pour Jim Qwilleran, ancien chroniqueur criminel, un poste de critique d’art est une véritable gageure étant donné qu’il ne connaît rien à la question. Très rapidement, il se rend compte que son véritable travail consiste à contrebalancer celui d’un féroce critique, attaché au même journal et détesté de tout le monde. Pourtant la maison de celui-ci est un véritable musée, sa table celle d’un fin gourmet et l’homme lui-même est brillant et satirique. Il possède aussi un chat siamois aristocratique, Kao K’o Kung – Koko pour Qwilleran – qui apprécie les vieux maîtres et sait lire à l’envers les manchettes des journaux. Dans le monde apparemment paisible des beaux-arts, trois morts brutales se produisent et c’est grâce au flair de Koko que Qwilleran découvrira la vérité.
Mon avis
Première enquête de Qwilleran et de son chat siamois Koko, cette histoire est d’une simplicité déconcertante. L’intrigue est plutôt pauvre, basique, le suspens inexistant, et les personnages sans grand intérêt. Toutefois, l’idée du détective secondé par un chat a de quoi me titiller, et j’espère que les volumes suivants seront un peu plus inventifs au niveau des histoires. Je laisse donc une chance à l’auteur et je lirai au moins le deuxième volume, car je garde espoir.
Une remarque pertinente pour “Le chat qui lisait à l’envers”
Je participe justement à un challenge sur Lilian Jackson Braun et ai choisi ce livre (par hasard car je suis tombé dessus dans la file d’attente de la Maison de la Presse !). J’espère ne pas être trop déçue… En tous cas, c’est apparemment son premier. J’aime bien commencer par le début d’une saga même si les épisodes ne se suivent pas vraiment.
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