le 21 avril 2007
- Auteur: Graham Masterton
- Lu : avril 2007
- Ma note :
4e de couverture
Ils étaient prêts aux pires atrocités pour conserver l’éternelle jeunesse que leur conférait le portrait maléfique.
Un portrait de douze personnages au visage en décomposition… La toile est l’oeuvre d’un certain Waldegrave, ami d’Oscar Wilde et passionné d’occultisme, mais elle est sans valeur et plutôt médiocre.
Alors pourquoi la mystérieuse Cordélia Gray veut-elle à tout prix s’en emparer ? Quel est le secret du portrait ? Qui sont ces douze personnages ?
Vincent Pearson, l’actuel propriétaire du tableau, découvre un lien entre cette oeuvre démoniaque, et une série de meurtres particulièrement abominables qui secouent depuis quelques mois la Nouvelle-Angleterre…
Mon avis
Mon premier Masterton. Prometteur ! L’histoire, directement inspirée du sublime Portrait de Dorian Gray, d’Oscar Wilde, est cauchemardesque. Masterton fait preuve d’un humour noir tendance glauque, avec un brin d’absurde. Certaines descriptions sont particulièrement gore, mais jamais à outrance, et toujours avec une point d’humour et de décalage. Ce mélange original m’a beaucoup lu, le dénouement complètement surréaliste et l’épilogue sont tout à fait délicieux.
Blog mis en archives…
Une remarque pertinente pour “Le portrait du mal”
je suis tombé sur ce site en cherchant des renseignement sur Serguei loukanienko.(les sentinelles de la nuit).
puis sur cet avis sur le portrait du mal.
Tout a fait d'accord.
C'est également mon premier Masterton et si le dépeçage de l'auto stoppeuse est assez glauque,le meurtre des petites filles et celle handicapée à coup de barres de fer(avec les vers qui sortent à la fin)vaut la lecture!
c'est un bel hommage au "portrait de dorian gray"(d'ailleurs c'est le nom de la maléfique famille ,je mettrai 4 étoiles.
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