- Auteur : Bernard Werber
- Lu : Décembre 2005
- Ma note :
Un œil dans le ciel. Celui du grand Dieu qui observe les élèves dieux dans leur évolution ?
Parce qu’il résout l’énigme « C’est mieux que Dieu, c’est pire que le diable, les pauvres en ont, les riches en manquent et si tu en manges tu meurs. », Mickael Pinson accède au dieu de la montagne : Zeus. Il lui révèle qu’il s’est recrée à l’image de l’homme et que ce sont les hommes qui ont inventé les mythologies. Il s’est contenté de les incarner. Un secret connu de lui seul jusqu’à ce jour…
Zeus garantit à Mickael la survie de son peuple de dauphins s’il joue bien la deuxième manche du Jeu d’Y qui consiste à faire évoluer une communauté humaine.
La partie commencée dans Nous, les dieux continue donc en Aeden. Mais il y a peut-être encore une puissance au-dessus de Zeus…
Mon avis
Bien que fan de Werber ce deuxième volume du cycle des dieux me déçoit un peu, il y a pas mal de longueurs, notamment le descriptif de l’évolution des peuples qui permettent aux élèves dieux de s’entraîner. Le style simpliste (de plus en plus basique même) n’a plus assez de fond pour contrebalancer ses lacunes. Le concept est excellent, dommage que le « souffle » des dieux en manque, mais j’ai malgré tout hâte de lire le dernier volume (Le secret des dieux).
Pour celui-ci, l’envie de le continuer me manque, l’ennui me gagne, je m’y remettrai plus tard, peut-être à la sortie du dernier tome, pour ne pas finir le livre frustrée.
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