- Auteur : Wilkie Collins
- Lu : juin 2008
- Ma note :
Un jeune homme s’engage dans un mariage qui ne tarde pas à se révéler un guet-apens… On la bonne société victorienne nous découvre le dessous – peu reluisant – de ses crinolines. Basil (1852), le plus sexué des romans de Collins, en tout cas l’un des plus délicieusement inconvenants, ne fait pas beaucoup de cadeaux à son lecteur… qui n’attend d’ailleurs que cela. L’hypocrite. A ne pas lire la nuit si l’on veut dormir.
Mon avis
Si l’histoire de Basil est certes moins tarabiscotée que celles des précédents romans de Wilkie Collins déjà traités sur ce blog, l’intérêt n’est pas moindre. Plus court, plus simple dans son intrigue, mais tout aussi délectable. On y retrouve tous les ingrédients nécessaires à une lecture échevelée, passionnée, et haletante ! Personnages toujours très approfondis, description des mœurs d’une époque, des différentes classes sociales, et j’en passe. L’histoire est donc un peu moins tordue, mais conserve son lot de rebondissements. Jusque là WIlkie Collins ne m’a pas déçue, et j’en ai encore 3 ou 4 sur mes étagères.
2 remarques pertinentes pour “Basil”
J'espère que tu ne l'as pas déjà été : je te donne un peu de travail.
En effet, tu es … Taguée !
http://carnets-plume.blogspot.com/2008/06/lenfant…
😉
pffff ! 😛
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