- Auteur : Jeff Balek
- Ma note :
- Lu : décembre 2012
Yumington 1887. Accro aux feuilles à mâcher, scientiste convaincu, excentrique à l’occasion, le jeune Ockham Stryker vient d’être libéré de ses obligations militaires après avoir parcouru les mers de l’Empire. Il rentre à Yumington pour prendre ses nouvelles fonctions d’adjoint au chef de la police. À peine débarqué, un gamin de rue lui vole son portefeuille. Cet incident anodin le met sur la piste de l’un des plus étranges complots qu’a connu la ville de Yumington.
Avec ce roman policier à la mode steam-punk, Jeff Balek, auteur du best-seller numérique Le Waldganger, signe le premier tome captivant des aventures de son héros Ockham Stryker. Découvrez sans attendre les secrets que dissimule La Tour Folkstrom !
Mon avis
J’avais déjà été emballée par Le Waldganger lors de sa sortie chez Numériklivres et me revoici plongée dans l’univers de Jeff Balek version steampunk. Je n’ai pas souvenir d’avoir lu de livre de ce type, ou alors il y a longtemps, avant de savoir qu’il s’agissait d’un genre. En tout cas ça me tente depuis pas mal de temps mais je ne savais pas par quoi commencer, le choix étant vaste, et pas seulement dans le steampunk (oui, parce que j’ai une grosse PAL moi). Mais heureusement Zorro Jeff Balek est arrivé !
Donc voilà, j’ai enfin attaqué la première enquête du jeune et fringant Ockham Stryker ! Une enquête trop brève hélas ! qui nous laisse un peu sur notre faim, mais qui nous présente un Yumington bien différent de celui du Waldganger. Ça canarde nettement moins que dans ce dernier, forcément, nous sommes en 1887, la vapeur est une technologie très largement répandue pour ne pas dire dominante (normal pour du steampunk, me direz-vous), et notre jeune héros est plus dans la réflexion et l’observation que le Waldganger (pas difficile !). L’aspect humain est très présent, on sent que les relations entre les personnages vont évoluer et se développer. Les personnages sont très prometteurs, sympathiques, bien campés, le contexte steampunk bien évoqué et les illustrations au trait collent parfaitement à l’esprit feuilleton du XIXe siècle. Un superbe cadre pour de chouettes personnages, que j’espère retrouver bientôt avec d’autres enquêtes, car tout cela est plus que prometteur !
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