- Auteur : Koji Suzuki
- Ma note :
- Lu : 06/2014
Takanori Andô, graphiste spécialiste de l’analyse d’image, reçoit une vidéo amateur montrant un suicide à l’intérieur d’un appartement banal. Son client souhaite déterminer s’il s’agit d’un véritable suicide ou d’une mise en scène de génie. À chaque visionnage de la vidéo, Takanori se rend compte que le cadre de l’image se décale très légèrement, permettant de voir jusqu’au visage du suicidé : Seiji Kashiwada. Ce dernier est un serial killer condamné à la peine de mort pour le meurtre de quatre fillettes, douze ans plus tôt, et dont l’exécution a eu lieu peu de temps auparavant…
Takanori se lance dans une enquête effrayante tandis que d’étranges phénomènes envahissent sa vie et celle de sa compagne.
Kôji Suzuki est considéré comme le « Stephen King japonais ». Sa série Ring ainsi que Dark Water ont été adaptés au cinéma et ont connu un succès international.
Mon avis
Suzuki nous revient avec une pseudo-suite à la trilogie RING, et si vous n’avez pas déjà adhéré aux délires de l’auteur à ce moment-là, il est inutile de se pencher sur S. Comme le titre le suggère clairement, Sadako est de retour, mais sous une forme inattendue. J’ai lu la trilogie il y a des années, et à l’époque j’avais complètement « gobé » la folie de Suzuki. Mais le temps a passé, la sauce prend moins bien, moins vite, néanmoins cette suite, située une génération plus tard, se lit facilement, avec intérêt. Je conçois toutefois que sans avoir lu la trilogie, ou sans y avoir accroché, il y a peu d’espoir qu’un lecteur « vierge » se laisse embarquer par cette nouvelle intrigue, un poil abracadabrantesque.
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