• Auteur : Robin Hobb
• Lu : mars 2011
• Ma note :       

Au royaume des six Duchés, le prince Chevalerie, de la famille régnante des Loinvoyant – par tradition, le nom des seigneurs doit modeler leur caractère- décide de renoncer à son ambition de devenir roi-servant en apprenant l’existence de Fitz, son fils illégitime. Le jeune bâtard grandit à Castelcerf, sous l’égide du maître d’écurie Burrich. Mais le roi Subtil impose bientôt que FITZ reçoive, malgré sa condition, une éducation princière. L’ enfant découvrira vite que le véritable dessein du monarque est autre : faire de lui un assassin royal. Et tandis que les attaques des pirates rouges mettent en péril la contrée, Fitz va constater à chaque instant que sa vie ne tient qu’à un fil : celui de sa lame…

 Mon avis

J’ai eu les 3 premiers tomes de cette série il y a des années, et à force de les voir prendre la poussière dans ma PAL, je m’en suis séparée. Et voilà que l’envie m’a saisie de m’y mettre, pour mon plus grand bonheur !
Il ne m’a pas fallu longtemps pour être happée par l’histoire et les personnages terriblement attachants. Fitz est le narrateur et nous raconte sa vie depuis son arrivée à Castelcerf.
Loin d’être un simple roman de fantasy, L’assassin royal est aussi un roman peuplé de personnages complexes, aussi divers que variés, particulièrement bien dépeints dans tous leurs aspects. Les relations entre eux sont souvent difficiles, leur psychologie très fouillée. Je découvre avec joie une fantasy très fine et très recherchée, les moments d’émotions ne manquent pas et sont bien dosés, de même que la magie, ici principalement représentée par l’Art et le Vif. Ce dernier trahit de toute évidence l’amour que semble avoir l’auteur pour les animaux et notamment les chiens. Les amis des animaux ne manqueront pas d’apprécier cet aspect de la série. Bref, une très belle découverte que je poursuis dans la foulée avec le tome 2.

• La pointe d’argent
• L’assassin du roi