La Comédie du livre de Montpellier, c’est sans doute le salon que je préfère. Certes, j’en connais peu, mais celui-ci reste une valeur sûre, le nombre d’auteurs présents est faramineux, les débats, conférences, rencontres, et autres manifestations littéraires sont légion. C’est celui auquel je suis allée le plus souvent (2009, 2012, 2013, 2015 et 2016), et sa facilité d’accès en fait donc mon préféré ! Je n’y vais habituellement que pour la journée, et je dois donc faire des choix, outre les dédicaces, je fais normalement une conférence ou une rencontre, le temps manquant pour faire plus. Mais il y a du choix, tant pour les adultes, que pour les enfants, car des ateliers et autres animations sont organisés pour les plus jeunes.

Cette année La comédie du livre était consacrée à la littérature italienne. J’ai lu très peu d’auteurs italiens, et le seul qui m’aurait intéressée n’étant pas présent, autant dire que j’ai zappé le stand dédié, ma politique étant de ne pas me disperser, et de me contenter des auteurs que je connais déjà, il ne serait pas raisonnable de se laisser aller.

Néanmoins, j’ai pu rencontrer ou revoir des auteurs que j’affectionne. J’ai revu J.-M.Erre, et j’ai donc à présent toute son œuvre dédicacée en grand format, Sire Cédric, pour lequel La comédie du Livre était une première ! J’ai également pu rencontrer mes nouveaux chouchous découverts cette année et entrés directement dans mon panthéon personnel, à savoir Sandrine Collette et Olivier Norek. Fabrice Colin, que j’ai découvert avec La poupée de Kafka était également présent, avec une œuvre aussi diverse qu’abondante à disposition. Il va vraiment falloir que je fasse un choix pour me replonger dans son écriture.

Ce genre de salon permet de prendre le temps, les files d’attente sont rares et jamais très longues, même pour les auteurs les plus connus. L’occasion de papoter plus ou moins tranquillement avec les auteurs, même si personnellement je commence à m’affoler lorsque trois personnes attendent derrière moi. J’ai ainsi pu rendre visite plusieurs fois à Sire Cédric et Olivier Norek, qui ont dû se demander si par hasard je ne m’ennuyais pas un chouïa 😀

J’ai également eu le temps de me rendre à une rencontre au Gazette Café, réunissant Sandrine Colette et Paola Barbato, avant de reprendre mon train de retour.

Je suis donc ravie de ma journée, même si j’ai raté Paul Colize, dont je voulais un livre dédicacé pour offrir à ma Valériane préférée…Impossible de mettre la main sur le monsieur et d’avoir une confirmation de sa présence (ou de son absence) de la part des libraires…aucune trace de stand dédié, de livres de l’auteur, de l’auteur lui-même…..le mystère demeure…

• Il reste la poussière
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