- Auteur : Alexander McCall Smith
- Ma note : 50%
- Lu : janvier 2015
Quand la jeune Pat pousse la porte du 44 Scotland Street, elle espère bien prendre un nouveau départ. Entre son colocataire, un beau gosse insupportable et terriblement séduisant, et son excentrique voisine de palier, Domenica, la voilà entraînée dans une nouvelle vie au cœur de l’Édimbourg bohème. Son travail à la galerie « Something Special » s’annonce pourtant un peu morne. Sauf que Pat découvre au fond de l’obscur endroit un tableau qui pourrait bien valoir son pesant d’or et transformer sa vie ! D’abord publiées sous la forme d’un roman-feuilleton, ces chroniques d’Alexander McCall Smith brossent avec humour et tendresse la société d’Édimbourg et composent, entre chassés-croisés amoureux et intrigues haletantes, une savoureuse galerie de portraits.
Mon avis
Petite déception et abandon au bout de 50% de lecture pour ce début de série pourtant bien prometteur. Ouvertement inspiré des Chroniques de San Francisco, Les chroniques d’Édimbourg mettent en scène plusieurs habitants d’un même immeuble, avec leurs petites histoires, leur quotidien, des relations qui se nouent ou se dénouent, des personnages aussi divers que variés dans un plus ou moins même environnement. Bizarrement, malgré une recette qui a déjà fait ses preuves et un cadre on ne peut plus attirant (Ah ! Édimbourg !), la sauce ne prend pas avec moi. Tout est bien sympathique ici, mais hélas il manque un je ne sais quoi pour me donner envie de continuer, or, je n’ai pas le moindre curiosité concernant l’avenir des personnages. Absence de curiosité, léger ennui, il ne m’en faut pas plus pour prendre la rare décision de passer à autre chose.
3 remarques pertinentes pour “44, Scotland Street”
Je l’ai lu il y a un bail…
C’est vrai que j’ai moins accroché que pour les chroniques de San Francisco, mais j’ai quand même acheté la suite. Ya plus qu’à la lire 🙂
Je devais pas être d’humeur, parce que c’est pas si mal, mais il me manque un truc, c’est un peu mou du genou quoi 😛
Je pense que je suis d’accord. Il y a moins de peps que dans Maupin.
Je te dirai quoi quand j’aurais lu le suivant 🙂
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