• Auteur : Jérôme Camut
• Ma note :       
• Lu :  avril 2009

Il s’appelait Malhorne. Il avait vécu plusieurs vies à travers l’histoire et s’était décidé à les révéler au monde pour essayer de déchiffrer sa propre énigme… avant de mettre fin à ses jours. Pourtant, il n’a pas disparu. Il s’est réincarné dans une petite fille, que l’ethnologue Franklin, Tara et les compagnons de Malhorne ont soustraite aux griffes de Denis Craig et de sa Fondation Prométhée. Ils sont réfugiés en Amazonie, où l’enfant retrouve peu à peu la mémoire d’avant sa naissance et répète un premier mot mystérieux « Aratta ». C’est alors que leur village est sauvagement massacré, et qu’un groupe d’archéologues met au jour une nécropole sumérienne où le même nom apparaît.

 Mon avis

J’ai la crève, je ne serai donc pas longue à commenter ce second volume de Malhorne. D’ailleurs il en reste deux, et je me réserve pour le final. Ou pas. En gros, j’ai liquidé ce livre de 721 pages en 4 soirées, ça en dit long. On retrouve Malhorne dans un nouveau contexte, et un nouveau corps. Sauf que le cycle de réincarnations de Malhorne prend un tour tout à fait nouveau, des années ont passé, la société a changé, ainsi que les mentalités. Des personnages bien connus poursuivent l’aventure tandis que des nouveaux apparaissent. Le thème de la quête est pleinement exploitée, à grande échelle et sur tous les points de vue possibles. Toutefois, on sent que ce volume annonce autre chose, une suite encore plus vaste. On attend d’autres révélations, d’autres mystères, et ainsi de suite.  Malgré mon état second quasi-permanent depuis quelques jours j’ai plongé avec délectation dans cette lecture, j’ai vite été happée par l’action. Bientôt la suite, sur ce blog.

• Malhorne, tome 1 : Le Trait d’union des mondes
• Malhorne, tome 2 : Les eaux d’Aratta
• malhorne, tome 3 : Anasdahala
• Malhorne, tome 4 : La matière des songes

• La solitude des nombres premiers
• Le prestige